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Salariés engagés
Communauté de la Fondation RTE

6 questions à Claire Turci

Bannière Claire Turci, coach

Découvrez Claire Turci, coach de l’association Les passeurs de Curiosités. 

Quel poste occupez-vous chez RTE et comment avez-vous connu la Fondation RTE ? 

Je travaille sur des projets de raccordements de producteurs au réseau de transport. J’ai connu la Fondation RTE grâce à la plateforme Solidai’RTE qui propose des actions d’engagement citoyen aux salariés de l’entreprise. La Fondation propose plusieurs formats d’engagement auprès des associations qu’elle soutient. J’ai d’abord eu connaissance du parrainage puis de la proposition de coaching diffusé via la plateforme Solidai’RTE. Le programme de coaching consistait en un accompagnement de 10 mois d’un porteur de projet afin de pouvoir contribuer davantage à la consolidation des structures en conduisant les porteurs à travailler sur des problématiques structurelles, au-delà du projet initialement soutenu par la Fondation. 

De quelle association êtes-vous coach et pourquoi ?

Je suis la coach de Justine Goyon fondatrice des Passeurs de Curiosité qui est une association qui sort un peu de l’ordinaire : elle œuvre à la fois sur la biodiversité et sur l’éducation des enfants, qui sont des sujets qui me touchent particulièrement. 

BIENVENUE | Les Passeurs de Curiosités (lespasseursdecuriosites.org)

Quel était votre rôle et qu’en avez-vous le plus apprécié ?

Mon rôle a consisté à accompagner Justine, tout au long du programme de coaching piloté par la Fondation RTE. Le programme a permis aux associations qui le souhaitaient d’avancer sur un défi structurel en bénéficiant de l’appui d’un coach RTE formé par la Fondation. Nous avions, concrètement un échange mensuel au cours desquels Justine partageait ses problématiques du moment et où moi je l’écoutais, je la soutenais sans forcément lui apporter de réponses ni de solutions toute faites, mais mon rôle était de l’accompagner dans la recherche de solution !

Que vous a apporté le rôle de coach dans votre vie quotidienne ?

J’ai apprécié nos discussions et le fait de pouvoir échanger avec une autre structure que celles auxquelles je suis habituée, avec des problématiques et des préoccupations différentes de celles que je vis au quotidien. Mon souhait majeur, lorsque je me suis inscrite à ce programme en tant que coach, était d’être utile à quelqu’un qui en avait exprimé le besoin. Justine m’a dit que c’était le cas, et c’est le plus gratifiant pour moi.

Que pensez-vous du programme de coaching de la Fondation RTE ?

Je suis très contente que la Fondation RTE ait pu mettre en place ce programme car grâce à lui j’ai pu rencontrer Justine, l’accompagner tout au long de son projet et également découvrir une association que j’admire tout particulièrement. J’ai été honorée d’avoir pu accompagner Justine et je continue à le faire puisque nos échanges se poursuivent au-delà du programme qui s’est terminé en décembre. C’est une très belle initiative qu’il faut selon moi continuer !

Quels conseils donneriez-vous à un futur coach

L’un des enjeux est la disponibilité, surtout lorsqu’on a un métier prenant avec une grosse charge de travail. Si on s’engage dans ce programme, il est donc très important de se rendre disponible, de conserver les temps d’échange planifiés même en pic de charge, et d’être « présent » : on laisse de côté son travail pendant une heure ou deux, et on n’y pense plus pour être présent à 100 % pour l’association et son porteur de projet. Ce n’est pas toujours simple, mais c’est à mon sens primordial pour garantir une relation de qualité. Un autre conseil serait de ne pas s’inquiéter de ne pas avoir de connaissances techniques à apporter au porteur d’association : le rôle du coach est d’accompagner le porteur de projet dans ses réflexions, pas de lui apporter des solutions.